C’était une publication dans les tuyaux depuis quelques temps maintenant : Michel Bussi fera son retour en librairie avec un nouveau livre, peut-être pas si nouveau que cela, dès le 16 mai prochain. De quoi donner la possibilité à tous les lecteurs de l’Hexagone de passer l’été avec ce nouveau roman qui s’annonce plus inquiétant que jamais. Lettres it be vous donne toutes les informations à savoir sur cette nouvelle parution.
Sang famille, c’est le nom de ce nouveau roman signé Michel Bussi et qui paraîtra le 16 mai 2018 du côté des Presses de la Cité. Une nouvelle parution qui est en vérité la republication d’un roman déjà sorti en 2009 aux Editions des Falaises et depuis indisponible dans toutes les librairies. Ce nouveau livre a donc fait l’objet d’un sérieux retravail et d’une préface inédite de l’auteur. Ce ne sera donc pas tout à fait la même histoire si l’on en croit les premières informations tombées autour de Sang famille. De toute évidence, Michel Bussi proposera avec ce livre une histoire inquiétante autour d’une sombre affaire de manipulation, dans la veine de ses plus grands romans. Encore un mois à attendre avant de pouvoir vous plonger dans Sang famille !
Pour en savoir plus, découvrez sans plus attendre la quatrième de couverture dans les lignes qui suivent :
«Je m'appelle Colin Rémy. J'ai seize ans. Je suis orphelin.
C'est du moins ce que tout le monde m'a toujours dit. Pour ma part, je ne l'ai jamais vraiment cru.
C'est aussi pour cela que je suis retourné cet été d'août 2000 à Mornesey, la petite île anglo-normande au large de Granville où j'ai passé les premières années de ma vie.
C'est alors que tout a basculé dans la folie.
Quel rapport entre mon histoire et l'évasion de deux prisonniers lors d'un transfert vers le centre de détention, semant la panique sur Mornesey au coeur de la saison touristique ?
Dois-je croire les légendes de l'île ? Mornesey serait peuplée de bagnards et de leurs descendants ... Un trésor légendaire, la Folie-Mazarin, dormirait dans le labyrinthe de souterrains creusés sous l'île.
A qui puis-je faire confiance ?
Peut-on voler la mémoire d'un enfant de 6 ans ?
Pourquoi suis-je le seul sur l'île de Mornesey à avoir reconnu mon père ? Vivant !»
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