Depuis le 28 février, Michel Bussi est revenu en librairie avec J’ai dû rêver trop fort publié aux Presses de la Cité. Pour son 12ème roman, l’auteur et professeur de géographie spécialisé en géographie électorale propose une mystérieuse histoire d’amour entre siècles et continents. Un nouveau succès à attendre ?
Le retour d’un poids lourds des librairies
Chaque parution d’un roman de Michel Bussi est l’occasion de rappeler le poids et l’importance qu’a pris cet auteur dans le cœur des lecteurs de tout l’Hexagone. Après d’immenses succès comme Un avion sans elle ou encore Maman a tort, Michel Bussi risque fort de perpétuer cette belle tendance avec J’ai dû rêver trop fort. Et en-dehors des librairies, le natif de Louviers dans l’Eure continue de faire parler de lui : trois de ses livres ont déjà été adaptés à la télévision. On a effectivement découvert une adaptation de Maman a tort sur France 2 l’année dernière alors que sera bientôt diffusée sur les antennes de M6 l’adaptation d’Un avion sans elle avant de découvrir celle de Le temps est assassin sur TF1 dans les mois à venir.
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Pourquoi le Goncourt 2018 est un mauvais livre ?
Une fois encore, l’auteur va piocher dans une œuvre musicale pour intituler son roman. Cette fois, c’est dans les paroles de la célèbre chanson d’Alain Baschung « Vertige de l’amour » que Michel Bussi est allé trouver le titre de son nouveau livre. De vertiges, et d’amour, il va effectivement en être question dans ce livre…
Entre Montréal et Barcelone, en passant par Jakarta ou encore San Diego, l’auteur promènera ses lecteurs sur les traces d’une intrigue amoureuse qui promet d’être haletante et étourdissante à souhait. Comme à chaque fois ? On vous laisse découvrir tout ça !
# La quatrième de couverture
Les plus belles histoires d’amour ne meurent jamais.
Elles continuent de vivre dans nos souvenirs et les coïncidences cruelles que notre esprit invente.
Mais quand, pour Nathy, ces coïncidences deviennent trop nombreuses, doit-elle croire qu’il n’y a pas de hasard, seulement des rendez-vous ?
Qui s’évertue à lui faire revivre cette parenthèse passionnelle qui a failli balayer sa vie ?
Quand passé et présent se répètent au point de défier toute explication rationnelle, Nathy doit-elle admettre qu’on peut remonter le temps ?
En quatre escales, Montréal, San Diego, Barcelone et Jakarta, dans un jeu de miroirs entre 1999 et 2019, J’ai dû rêver trop fort déploie une partition virtuose, mêlant passion et suspense, au plus près des cœurs qui battent trop fort.
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