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L'incroyable succès du livre du Pr Didier Raoult sur le coronavirus

Alors que toutes les librairies ont dû fermer leurs portes à cause de la crise du coronavirus, un auteur a quand même réussi à profiter de la situation pour vendre de nombreux exemplaires de son dernier livre. Cet auteur ? Le Pr Didier Raoult, cible privilégiée des médias depuis ses travaux sur l’intérêt de la chloroquine pour lutter contre le coronavirus.

 

 

Plus de 8 000 exemplaires vendus en une semaine

 

 

 

La fermeture des librairies, des dates de sortie décalées pour les nouveaux livres de Guillaume Musso, Bernard Minier et consorts… Sale temps pour les livres en France. Pour tenter de combler le retard, la résistance s’organise autour des librairies en ligne, des points de vente de livres encore ouverts (supermarchés et maisons de la presse) et du format numérique. Et force est de constater que cela a bien profité au Pr Didier Raoult !

 



Dans Épidémies, vrais dangers et fausses alertes, son livre publié à la fin du mois de mars aux éditions Michel Lafon, le Pr Didier Raoult fait le point sur tout ce qui a pu être dit sur le coronavirus et sur ses travaux autour d’une éventuelle solution qui aurait déjà fait ses preuves d’après les résultats qu’il a pu obtenir.

 

 

En seulement une semaine d’exploitation, les chiffres communiqués par la maison d’édition ont confirmé que plus de 8 000 exemplaires avaient déjà été vendus en format numérique. Pour la version papier, disponible dans les points de vente autorisés et en livraison, Michel Lafon a d’ores et déjà prévu de mettre en place 37 000 exemplaires. On parle même d’un nouveau tirage de 10 000 exemplaires !

 

 

La quatrième de couverture

 

Anthrax, chikungunya, Ebola, grippes aviaires, H1N1, Zika, SARS-coronavirus, MERS- coronavirus... Pour toutes ces épidémies, on a prédit des millions de morts : il n'en a rien été.

 

Qu'en sera-t-il du coronavirus chinois qui provoque une panique mondiale ?

 

 

Cet affolement provient en grande partie des exagérations de la presse, qui sait que la peur " fait vendre ". Mais que nos gestionnaires – les politiques – surfent à leur tour sur le pire peut être lourd de conséquences. Nous avons affaire à des événements que la science elle-même peine à expliquer, telles la transmission accélérée des épidémies à leur début, leur variation saisonnière et... leur disparition spontanée sans raison apparente. Dans ces conditions, brandir chaque jour le nombre de nouveaux cas et de morts comme un épouvantail ne sert qu'à provoquer des réactions disproportionnées par rapport aux risques réels qui, eux, ne peuvent qu'être négligés dans le même temps.





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